Le Service national universel est une lubie paternaliste et ringarde de ceux qui pensent que la jeune génération ne peut construire librement ses choix. Les valeurs de la République s’éprouvent et se transmettent dans la vie quotidienne de chaque jeune, pas par la contrainte ou la caserne.
Ce dispositif coûte « un pognon de dingue » et n’est réclamé par personne, et surtout pas par le monde associatif. Un meilleur usage de l’argent public est nécessaire, pour permettre à chaque jeune de conquérir sa liberté, son autonomie, par des politiques publiques en faveur de l’égalité, de la dignité, de l’émancipation.
Comme député, je m’opposerai fermement au caractère obligatoire auquel songerait le gouvernement. Pour mener cette bataille, j’ai besoin de votre soutien !